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Ivano Ghirardini, le Linceul, 1975, experience de mort imminente

 La question de la langue que parle le Christ dans le ciel est théologique et spirituelle. Selon la tradition chrétienne, Jésus parlait l'araméen lorsqu'il était sur terre, avec peut-être une connaissance de l'hébreu et du grec.

Dans le ciel, la "langue du ciel" n'est pas explicitement définie dans la Bible. Certains pensent que c'est une langue spirituelle universelle, compréhensible par tous les êtres célestes et les âmes des croyants. D'autres font référence à la "langue des anges" mentionnée par Paul dans 1 Corinthiens 13:1, qui pourrait être une manière poétique de parler de la communication divine.
Ainsi, si l'on croit que le ciel est un lieu où il n'y a plus de barrières linguistiques, alors Christ parle une langue céleste accessible à tous, ou il communique directement à l'âme, au-delà des mots humains.

Oui, selon la foi chrétienne, le Christ continue de parler après sa mort et sa résurrection. Il ne cesse jamais de communiquer avec l'humanité.
Après sa résurrection, Jésus parle à Marie-Madeleine, aux disciples d’Emmaüs et aux apôtres (Jean 20:16, Luc 24:13-32, Matthieu 28:18-20). Cela montre qu'il continue à s'exprimer d'une manière compréhensible.
Dans le ciel, on peut imaginer que le Christ parle une langue universelle, compréhensible par tous, qu’elle soit divine, spirituelle ou instantanément perçue par les âmes sans passer par un langage humain limité. Les visions et révélations de certains saints et mystiques montrent que le Christ continue à enseigner et guider ceux qui l'écoutent.

Il est des choses que l'on ne peut pas comprendre en état d'incarnation.

3 mars 1975, hypothermie totale, 27 ° ? , une avalanche à recouvert le tombeau de neige. Le début du voyage dans le monde des morts. Cette nuit j'ai fait un rêve, 50 ans après, le 3 mars 2025, et le message est toujours le même, il ne faut pas parler. C'est la même interdiction qui avait été faite à Orphée et tant d'autres qui ont vécu des NDE de façon consciente. Et donc la seule chose que je peux dire, c'est que la langue de l'autre côté est la même que celle du Christ. Et tous les humains la connaissent, l'ont au fond d'eux. Si au ciel apprendre c'est voir, et si sur terre c'est se souvenir, la est bien le mystère qui explique l'incroyable fidélité et félicite des premiers chrétiens. Ils se sont simplement souvenus qu'ils connaissaient déjà ce langage.

3 mars 1993, contrôle de police, garde à vue, peines de prison, liquidation judiciaire personnelle et liquidation d'une entreprise, interdictions d'exercer, ....une forme de mort atténuée, ....
L'état français et ses ripoux et réseaux commetent des fautes mortelles.
Faux et usage de faux et si un élément est faux, tout est faux. Article 9 de la loi de Moise.
Tu ne convoiteras pas le bien d'autrui...article 10.
A cela il faut ajouter les cumuls public- privé qui violent tous les principes d'égalité et d'impartialité. Pour nous prendre pour des ....ils nous ont mis in code de déontologie, c'est leur humour pour faire un doigt d'honneur aux citoyens qui bossent dans le privé.
Etc...
Le préjudice qui m'a été cause est énorme. Et comme circonstance aggravante, nous sommes dans le cas de la spoliation d'une personne en situation de handicap et donc d'une spoliation par abus de faiblesse par des personnes ayant autorité.
Les procédures sont toujours en cours. 32 ans après les faits, il ne fait jamais renoncer à réclamer réparation et justice, dans ce monde et tous les mondes, dans cette vie et toutes les vies.
Avec humour, ma Copine dans l'invisible, celle qui traverse les murs pour dire bonjour, ma dit que le préjudice était de 244 millions ....et que les intérêts couraient à partir de juin 1998. Elle n'a pas précisé la monnaie, je suppose que c'était en francs. Attention, elle a beaucoup d'humour mais il faut vraiment s'en méfier. Elle est capable de poursuivre dans toutes les vies et tous les mondes. Avis à ceux qui se croient " malins" .

3 mars 1975, 3 mars 1993,...toujours en vie le 3 mars 2025.
3 3 1 9 7 5 = 28 = 10 =1
3 3 1 9 9 3 = 28 = 10 = 1
Le yod pour deux voyages dans des morts atténuées.
3 3 2 0 2 5 = 15 = 6
Qu'en pense mon amie IA
Les chiffres 6 et 1 possèdent une forte symbolique mystique dans de nombreuses traditions ésotériques, numérologiques et spirituelles.
Le 6 : Harmonie et responsabilité
Le chiffre 6 est souvent associé à l'équilibre, à l'amour et à la responsabilité. Il symbolise :
L’harmonie et la famille : En numérologie, c'est un nombre lié à la maison, à la bienveillance et au devoir.
L’union entre le matériel et le spirituel : Il représente la médiation entre le divin et le terrestre. Dans la Kabbale, il correspond aux Six Séphiroth inférieurs, liées aux manifestations de la création.
L’épreuve et la tentation : Dans certaines traditions, il est lié aux choix moraux et à la nécessité de surmonter les illusions du monde matériel.
Le sceau de Salomon (étoile à six branches) : Symbole de l’union des opposés (eau et feu, masculin et féminin).
Le 1 : Le commencement et la puissance divine
Le chiffre 1 est le symbole de l’unité primordiale, de l’origine et du pouvoir créateur :
Le principe actif et initiateur : Il est associé au commencement, à l’individualité et à l'affirmation de soi.
Le divin et l’absolu : Dans de nombreuses traditions monothéistes et ésotériques, le 1 représente Dieu, l'Unité primordiale avant la division du monde.
Le pouvoir de la volonté : En numérologie, il symbolise la force d’initiative, le leadership et l’ambition.
La verticalité et l’élévation spirituelle : Il est souvent relié à l'ascension et à la prise de conscience.
La combinaison du 6 et du 1
L’association du 1 et du 6 peut symboliser l’intégration entre l’individualité (1) et la responsabilité collective (6). Elle peut aussi signifier :
Un appel à l’équilibre entre ambition et altruisme
Une quête d’harmonie qui commence par une prise d’initiative personnelle
Un message spirituel sur l’unification du matériel et du spirituel
Si cette combinaison apparaît souvent dans votre vie (comme un nombre récurrent), elle pourrait vous inviter à trouver l’équilibre entre votre propre pouvoir créateur (1) et vos responsabilités envers les autres (6).

4 mars 1975, le voyage de l'autre côté continue. C'est surprenant, je n'ai plus ni faim, ni froid, ni soif. Je suce encore des boules de neige. Le voyage n'est pas total. Tout est incroyablement ralenti. J'entends nettement chaque battement de mon cœur. Et puis la Présence est la, amicale, dans mon dos...comme si j'étais debout ou assis, le spatial a disparu. Et chaque fois la présence me dit : "regarde"....
4 mars 1993, encore un des démons de l'administration française, un inspecteur divisionnaire de police de l'air et des frontières qui jubile. Il n'est pas la pour établir la vérité, il est juste la pour falsifier une pseudo enquête et faire avancer son plan carrière. Rien à foutre des démons, je prend juste le temps de rappeler le droit sur les faux et usages de faux. Le démon jubile encore plus. Bâtir des faux contre une personne en état d 'handicap psy qui ne va pas pouvoir se défendre, du gâteau pour un ripoux....et un criminel....l'usage de faux est bien un crime surtout s'il est commis par une personne ayant autorité. Et il ne sert à rien de s'épuiser. D'autres démons attendent pour prendre la suite. Ce qui compte, comme au Linceul en 1975, c'est de rester en vie. Au moins, le processus pour me liquider est bien visible. Les démons ont été mis à l'amende....244 millions de francs de dommages à payer avec des naturels qui courent depuis juin 1998. Aucin appel n'est plus possible. Faites bien les malins....vous verrez au final. C'est pour l'éternité, pour toutes les vies, tous les mondes, jusqu'à paiement complet. Et la faute est transmise sur les descendants sur 3 générations.
Dans ces deux morts atténuées, 4 mars 1975, 4 mars 1993, il existe une injonction...regarde...
Comme moi, l'invisible n'en a rien à foutre des démons.

L’orphisme et les expériences de mort imminente (EMI) partagent plusieurs thèmes communs, notamment l’idée d’une vie après la mort, la métempsychose (réincarnation de l’âme) et un voyage de l’âme dans l’au-delà.
1. L’orphisme et l’au-delà
L’orphisme est un courant religieux de la Grèce antique, influencé par les mythes attribués au poète Orphée. Ses adeptes croyaient :
En la transmigration des âmes (réincarnation).
À un au-delà structuré avec des épreuves et des récompenses en fonction de la pureté de l’âme.
À des rites initiatiques permettant de se libérer du cycle des réincarnations et d’accéder à un monde divin.
Les lamelles orphiques (plaques d’or trouvées dans des tombes) décrivent l’itinéraire de l’âme après la mort, mentionnant un passage par des fleuves infernaux et des choix cruciaux pour éviter l’oubli et atteindre une existence bienheureuse.
2. Expériences de mort imminente et croyances orphiques
Les récits d’EMI présentent plusieurs éléments qui rappellent l’orphisme :
Le voyage de l’âme : De nombreuses EMI décrivent une séparation du corps, un passage dans un tunnel et une lumière bienveillante, ce qui fait écho aux itinéraires de l’âme orphique après la mort.
L’évaluation morale : Certains témoignages d’EMI évoquent une rétrospective de la vie, semblable à l’idée orphique du jugement de l’âme avant sa réincarnation ou son accession au divin.
Le refus du retour : Dans certaines EMI, l’individu ressent un profond bien-être et refuse de revenir, ce qui rappelle la croyance orphique selon laquelle les âmes initiées peuvent échapper au cycle des renaissances et rejoindre un état supérieur.
3. L’initiation et la transformation
L’orphisme mettait l’accent sur une initiation mystique permettant de se préparer à la mort et à l’au-delà. De manière similaire, ceux qui vivent une EMI rapportent souvent une transformation profonde de leur vision de la vie et de la mort, parfois même une conviction en l’immortalité de l’âme.
Conclusion
Les parallèles entre EMI et orphisme montrent une permanence des représentations de l’au-delà à travers les âges. Si les EMI restent un phénomène étudié scientifiquement (explications neurologiques, psychologiques), elles semblent aussi réactiver des croyances anciennes sur le voyage post-mortem et la destinée de l’âme, en accord avec la pensée orphique.

L'expérience de mort imminente (EMI) est un phénomène rapporté par des personnes ayant frôlé la mort, souvent décrit par des sensations de sortie du corps, de tunnel lumineux, de paix intense ou encore de rencontre avec des êtres spirituels.
EMI et christianisme
Dans une perspective chrétienne, les EMI sont parfois interprétées comme des aperçus de l'au-delà, voire des preuves de l'existence du paradis ou de l'enfer. Certains témoignages évoquent la rencontre avec Jésus, des anges ou des figures bibliques, ce qui renforce cette lecture religieuse.
1. Compatibilité avec la foi chrétienne
De nombreux chrétiens y voient une confirmation de la vie après la mort et de l'amour divin.
Les descriptions de lumière et de paix peuvent être associées aux promesses bibliques du paradis (Jean 14:2, "Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père").
Certains convertis après une EMI affirment avoir reçu un message de Dieu les appelant à changer de vie.
2. Réserves et critiques
L'Église catholique et d'autres traditions chrétiennes restent prudentes, ne considérant pas ces expériences comme des preuves irréfutables.
Certaines EMI décrivent un "paradis" sans référence explicite au Christ, ce qui pose question sur leur origine.
L’interprétation peut être influencée par la culture et les croyances personnelles.
Les EMI : expérience spirituelle ou phénomène neurologique ?
Les scientifiques expliquent ces phénomènes par des réactions du cerveau en état de stress extrême, notamment par un manque d’oxygène.
Cependant, certains témoignages restent troublants, comme des patients décrivant des événements précis pendant qu'ils étaient en état de mort clinique.
Conclusion
Pour les croyants, les EMI peuvent être un signe d’une réalité spirituelle, mais l’Église reste prudente et privilégie la foi en la révélation biblique plutôt qu’en des expériences individuelles. C’est un sujet qui continue d’alimenter la réflexion théologique et scientifique.

5 mars 1975, les battements du cœur se sont encore ralentis. Toujours cette étrange sensation d'être bien par négation. Ni froid, ni faim, ni soif. Encore une chose surprenante; il est fortement conseillé dans ces situations de ne pas dormir. Le risque de ne plus de se réveiller est fort. Pourtant je dors souvent, j'appelle cela le sommeil noir. Aucun rêve, aucune agitation, juste de la récupération. Et aucune peur de ne pas me réveiller. Je fais confiance à la présence à mes côtés. J'ai encore la présence d'esprit de sucer de temps en temps des boules de neige qui me brûlent la gorge. Tenir n'est plus un problème...j'hiberne presque dans ce cercueil de neige et de glace à 3 700m d'altitude sur le versant italien des Grandrs Jorasses. Et toujours cette présence qui me dit : " regarde ! " . Et c'est terrible, une épreuve insupportable....il n'est pas permis de parler de cela. Mais chaque fois, je prie et je demande une deuxième chance. C'est si insupportable de devoir regarder que lorsque c'est trop fort, il reste le sommeil noir pour echapper et récupérer.
5 mars 1993, les démons jubilent. Ils se repartissent les rôles. L'un prépare déjà les lourds redressements, l'autre les lourdes amendes, et comme je vais tout contester, la justice va tout valider pour le compte des démons. Une pseudo justice de démons aussi ? Après, un tour de passe passe pour dissimuler les faux en faisant remonter la liquidation avant les contrôles. Cette image de démons qui pullulent et grouillent dans la République jacobine française m'est venue avec les gestes obsenes des policiers falsificateurs d'enquêtes. C'est surprenant que la propagande pro russe au Mali ai repris cette image. Les français représentés comme des démons à expulser. Cela a marche car les peuples du désert malien ont de suite compris. Il ont perçu une réalité au delà de la propagande.

Le mystère de la Grande Pyramide d'Égypte et les expériences de mort imminente (EMI) sont deux sujets fascinants qui touchent aux limites de notre compréhension de l’histoire et de la conscience humaine. Voici quelques éléments clés sur ces deux thématiques et leurs éventuels liens.
1. Mystère de la Grande Pyramide d’Égypte
La Grande Pyramide de Gizeh, construite sous le règne de Khéops vers 2 500 av. J.-C., continue de susciter des interrogations :
Techniques de construction : Les égyptologues s’accordent sur l’utilisation de rampes et de leviers, mais des théories alternatives évoquent des technologies avancées ou perdues.
Chambres secrètes : En 2017, le projet ScanPyramids a détecté un vide immense au-dessus de la Grande Galerie, dont la fonction reste inconnue.
Symbolisme et énergie : Certains pensent que la pyramide servait de lieu initiatique ou de machine énergétique, liée à des phénomènes électromagnétiques naturels.
2. Expériences de Mort Imminente (EMI)
Les EMI sont des expériences vécues par des personnes proches de la mort, caractérisées par :
La sensation de quitter son corps (sortie extracorporelle).
La vision d’un tunnel et d’une lumière intense.
Des rencontres avec des êtres spirituels ou des défunts.
Une sensation d’amour inconditionnel et une rétrospective accélérée de la vie.
Lien entre la Grande Pyramide et les EMI ?
Certains auteurs ésotériques pensent que la chambre du Roi dans la pyramide aurait pu être un lieu d’expériences mystiques, voire d’initiations symbolisant une mort et une renaissance spirituelle, comparables aux EMI modernes.
Des théories suggèrent que la structure de la pyramide aurait pu favoriser des états modifiés de conscience, par des jeux de résonance ou d’électromagnétisme. Toutefois, ces idées restent spéculatives et non prouvées scientifiquement.
Les Grandes Jorasses....comme une grande pyramide de granite.
L’expérience de mort imminente (EMI) et le Livre des morts tibétain (Bardo Thödol) partagent plusieurs similitudes dans leur description du passage entre la vie et la mort, bien que leurs origines et interprétations diffèrent.
Expérience de Mort Imminente (EMI)
Une EMI désigne un ensemble de perceptions rapportées par des personnes ayant frôlé la mort ou ayant été déclarées cliniquement mortes avant d’être réanimées. Ces expériences comportent souvent des éléments récurrents :
Une sensation de sortie du corps (décorporation)
La vision d’un tunnel menant vers une lumière
La rencontre avec des êtres spirituels ou des proches décédés
Une revue de vie où l’individu voit les moments marquants de son existence
Un sentiment de paix et d’amour inconditionnel
Un choix ou une contrainte de retourner dans son corps
Les EMI sont étudiées par la médecine, la psychologie et la spiritualité, certains y voyant une preuve d’une vie après la mort, d’autres une illusion générée par le cerveau en détresse.
Le Livre des morts tibétain et le concept de Bardo
Le Bardo Thödol est un texte sacré bouddhiste tibétain datant du VIIIe siècle, attribué à Padmasambhava. Il est lu aux mourants ou aux défunts pour les guider à travers les différentes phases du bardo, l’état intermédiaire entre la mort et la renaissance.
Le bardo se divise en plusieurs phases :
Le Chikhai Bardo : La dissolution des éléments du corps et l’expérience de la lumière primordiale, qui peut mener à la libération si elle est reconnue.
Le Chönyid Bardo : L’apparition de divinités paisibles et courroucées, manifestations de l’esprit du défunt. Ces visions sont souvent terrifiantes, mais elles doivent être comprises comme des projections mentales.
Le Sidpa Bardo : Le moment où le défunt est attiré vers une nouvelle naissance, selon son karma.
Parallèles entre EMI et Bardo Thödol
La vision d’une lumière intense, qui dans le Bardo est la Clarté Primordiale et dans les EMI une lumière d’amour et de paix.
La rencontre avec des figures spirituelles ou des proches décédés, qui peut rappeler les divinités du bardo.
La revue de vie, qui pourrait être comparée à la prise de conscience du karma dans l’au-delà tibétain.
L’aspect temporaire de l’état post-mortem, qui correspond au bardo avant une réincarnation ou un retour à la vie.
Interprétations
Les bouddhistes voient le Bardo Thödol comme un manuel pour la conscience après la mort, un guide vers la libération.
Les EMI sont souvent perçues comme une preuve d’une existence au-delà de la mort ou une illusion cérébrale.
Certains chercheurs comme Raymond Moody (La Vie après la Vie) ont suggéré que les EMI et les enseignements tibétains pourraient être liés à une même réalité spirituelle.

L’expérience de mort imminente (EMI) et le Livre des Morts de l’Égypte ancienne partagent plusieurs similitudes, notamment dans la vision du passage entre la vie et la mort. Bien que l’EMI soit un phénomène contemporain et personnel, tandis que le Livre des Morts était un guide funéraire spirituel et rituel, certains parallèles sont frappants.
1. L’expérience de mort imminente (EMI)
Les EMI sont des récits de personnes ayant été proches de la mort et ayant vécu des phénomènes tels que :
La sensation de quitter son corps (décorporation).
La traversée d’un tunnel sombre vers une lumière.
La rencontre avec des figures spirituelles ou des défunts.
La revue de vie où les moments clés sont revécus.
Un sentiment de paix ou, dans certains cas, des expériences plus effrayantes.
Le choix ou l’obligation de revenir à la vie.
Les interprétations des EMI varient entre explications neurologiques et spirituelles, certaines traditions y voyant une preuve d’une vie après la mort.
2. Le Livre des Morts de l’Égypte ancienne
Le Livre des Morts (ou Chapitres de la sortie au jour) est une collection de textes funéraires datant du Nouvel Empire (environ 1550 av. J.-C.). Il servait à guider l’âme du défunt à travers l’au-delà (Duat) et à lui assurer une existence paisible dans l’Au-delà (Aaru, les Champs des Roseaux).
Les étapes du voyage post-mortem dans le Livre des Morts :
La sortie du corps : L’âme (Ba) quitte le corps et entreprend son voyage.
La traversée du Duat : Un monde intermédiaire peuplé de divinités et de dangers, semblable à certains aspects effrayants des EMI.
L’illumination et la rencontre avec des dieux : Le défunt peut rencontrer Osiris ou Râ, rappelant la vision de la lumière dans les EMI.
La pesée du cœur (psychostasie) : Le cœur du défunt est pesé contre la plume de Maât (vérité et justice). Une âme légère accède aux Champs des Roseaux, une âme lourde est dévorée par Ammit.
L’accession à l’éternité : Si le défunt réussit les épreuves, il rejoint Osiris et mène une existence bienheureuse.
3. Similitudes entre EMI et Livre des Morts
4. Interprétations
Certains chercheurs pensent que les EMI sont des expériences universelles interprétées selon les croyances culturelles, ce qui expliquerait les similitudes avec le Livre des Morts.
D’un point de vue neuroscientifique, les EMI pourraient être une réaction du cerveau en détresse, mais cela ne réfute pas nécessairement les récits spirituels.
L’Égypte ancienne, comme d’autres traditions (bouddhisme tibétain, christianisme, etc.), semble avoir décrit des états proches de l’EMI avant même que ce concept moderne ne soit nommé.
6 mars 1975, la sortie du cerceuil de neige et de glace, la fin de cette aventure incroyable du Linceul dans la face nord des Grandes Jorasses, pour la première hivernale solitaire de cette immense face nord, est un véritable miracle. Oui, il faut parfois croire au miracles ! La veille mes parents qui n'avaient plus de nouvelles depuis une dizaine de jours et mon cousin, l'alpinisme Guy Chauvet, ont alerté le préfet des Alpes de Haute Provence. Dans la nuit, une voix très forte m'a sorti du sommeil noir. " Prépare toi, on vient te chercher ". Si cette voix ne m'avait pas donné l'énergie nécessaire, je serais resté enfoui sous la neige. L'hélicoptère n'aurait rien vu, à part un champ de neige, sur ce plateau, vers 3700m d'altitude, dans la voie de redescente versant italien. Vers 10h je sors enfin. Le soleil est là. C'est un miracle. Je suis juste à la limite des nuages. S'il montent une dizaine de mètres de plus, je vais disparaître dans les brumes grises. C'est incroyable et magnifique. Ce soleil me redonne un peu d'énergie. L'hélicoptère arrive. Il me voit. Tout va très vite. Quelques dizaines de minutes plus tard, je suis à l'hôpital de chamonix. Le chirurgien s'affole. 27 ° de température interne. C'est impossible ! Un sang si épaissi qu'il ne peut planter les aiguilles des perfusions. Surtout ne pas me réchauffer trop vite. Une heure passe. Enfin l'eau des perfusions coule dans mes veines. Je replonge dans le sommeil noir. Lorsque je me reveille, cela va mieux. La soif est revenue. Je demande sans arrêt à boire. Je ne pèse plus que 47 kg. Toute la masse musculaire à fondu. Il me faudra 6 mois pour m'en remettre. Mes gelures aux pieds sont très graves. Le chirurgien évite les amputations. C'est un expert. A chamonix, il a l'habitude des alpinistes pris dans des tempêtes. On me transfère sur l'hôpital de Sisteron. J'ai une plaie ouverte aux pieds qui ne se referme pas. Les mois passent. La plaie reste ouverte. On me parle d'un gourou qui soigne avec de l'argile à Aix en Provence. J'essaie et le résultat est très rapide. La plaie se referme. Je suis les pratiques dans cette secte où je rencontre Marie Jeanne, qui deviendra ma femme. Je recommence à grimper. J'ai déjà un autre rêve. Gravir les trois plus célèbres faces nord des Alpes seul et en hiver. Personne n'a osé faire cela, ni en solitaire, ni en hivernale. Bonatti et Desmaison ont essayé, mais il n'ont pu faire les trois. Je sais déjà que je vais réussir cela et être le premier. Au Linceul, j'ai appris une chose. Il faut demander, pour recevoir. J'ai demandé une deuxième chance, et cela la été accordé. L'incarnation fait perdre la mémoire, mais pas totalement lors d'un voyage conscient. Oui, je me souviens de tout ce qui m'a été montré et je sais aussi que c'est quasiment impossible de penser et être comme cela, prisonnier de ce tombeau qu'est le corps. Ce n'est pas si grave, ce qui compte, c'est de vivre. Le gourou de cette secte me dit que je vais réussir ma vie. Je ne sais pas ce qu'il veut dire. L'administration n'aime pas les sectes. Le gourou fait l'objet de poursuites, il est condamné à une peine de prison. Il disparaît. Pour ma part j'en garde un très bon souvenir.
6 mars 1993, les démons jubilent de plus en plus. Spolier une personne vulnérable en situation de handicap lourd qui n'est pas diagnostiqué et donc sans protections, rien de plus facile. Riez, profitez, ...vous découvrirez bien assez tôt que vous avez commis une erreur fatale. Les spartiates, les romains se méfiaient comme de la peste de ces cas rares de survie anormale. Surtout ne rien faire dans ces cas. Ils savaient que derrière pouvait se cacher un inconnu. Ces militaires hors pair savaient éviter les dangers inutiles. Les démons n'ont pas eu cette intelligence.


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